Un immense stadium abandonné, en ruine, allégorie d’un monde au bord de l’effondrement, dominé par le sexisme et le patriarcat. Un lieu qui se prête à une atmosphère sombre et intime, avec une lumière naturelle à direction unique dessinant les silhouettes de corps souvent instrumentalisés.
Dans une esthétique sombre et dépouillée propre à la compagnie qui bouscule le spectateur émotionnellement et le pousse à la réflexion, une seule caméra mobile sans autre artifice filme les différentes séquences. |
Crédit photo : Jean Barak
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