Pièce pour 7 danseurs
Musique : Maxime CANEPA
Textes : George ORWELL
Durée envisagée : 1 heure
Projet de création
Musique : Maxime CANEPA
Textes : George ORWELL
Durée envisagée : 1 heure
Projet de création
« La lecture de Nineteen Eighty-Four de George Orwell en 2018 m’a tout de suite inspirée pour une création de danse. Dans la continuité de Unité 777, je souhaite rester sur un thème engagé. Le livre n’est qu’un support pour dénoncer la société dans laquelle nous vivons actuellement laquelle se rapproche de plus en plus dangereusement de la dystopie écrite par Orwell. Toutes les méthodes de contrôle de masse du livre sont déjà bien installées dans notre monde et si nous n’y prenons pas garde la population va finir par être totalement formatée pour ne devenir qu’un simple produit de consommation destiné à servir mécaniquement les grands puissants.
Il s’agit d’une création dénonçant ces outils de contrôle tels que les myriades de caméras publiques et privées pour surveiller les faits et gestes de chacun ; l’affaiblissement de la langue (novlangue) et de la culture combinés à l’explosion des émissions de télévision lobotomisantes afin de débiliser les esprits et empêcher toute soif de révolte ; le contrôle des médias et fake news pour barrer le chemin aux informations contredisant l’autorité ; l’utilisation de la religion à des fins politiques pour s’emparer de la part de spirituel en chacun de nous ; le bourrage de crâne publicitaire pour nous transformer en de bons petits consommateurs dociles…
Il s’agit également de discréditer la géopolitique de guerres incessantes, l’utilisation du fanatisme des extrêmes et de montrer à quel point la liberté de penser n’est pas encore acquise…
Pour cette création j’ai décidé de collaborer avec Maxime CANEPA, batteur et guitariste, pour la création musicale très rock de la pièce. »
Axel Loubette
Il s’agit d’une création dénonçant ces outils de contrôle tels que les myriades de caméras publiques et privées pour surveiller les faits et gestes de chacun ; l’affaiblissement de la langue (novlangue) et de la culture combinés à l’explosion des émissions de télévision lobotomisantes afin de débiliser les esprits et empêcher toute soif de révolte ; le contrôle des médias et fake news pour barrer le chemin aux informations contredisant l’autorité ; l’utilisation de la religion à des fins politiques pour s’emparer de la part de spirituel en chacun de nous ; le bourrage de crâne publicitaire pour nous transformer en de bons petits consommateurs dociles…
Il s’agit également de discréditer la géopolitique de guerres incessantes, l’utilisation du fanatisme des extrêmes et de montrer à quel point la liberté de penser n’est pas encore acquise…
Pour cette création j’ai décidé de collaborer avec Maxime CANEPA, batteur et guitariste, pour la création musicale très rock de la pièce. »
Axel Loubette
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La chorégraphie se construit autour des trois grands principes de l’Ingsoc dans Nineteen Eighty-Four : War is Peace, Freedom is Slavery and Ignorance is Strength.
Le groupe de danseur ne forme qu’une seule entité partagée intérieurement entre suivre les directives d’un gouvernement autoritaire pour sauver sa vie et son envie profonde de liberté de penser et d’agir. Le groupe doit évoluer caché sous l’oeil inquisiteur de Big Brother. On voit des signes corporels de protestation, la danse est furieusement énergique et saccadée, percutée de spasmes lorsque le Parti reprend la main sur l’esprit. Le révolte se fait casser de l’intérieur, c’est une lutte intime pour les danseurs qui finissent par gagner et aimer Big Brother. |
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